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dimanche 4 octobre 2020

IWAK#3 et #4: épais, massif + radio

 Je triche un peu en joignant ces deux termes, parce que rapidement, les idées qui me viennent se sont rejointes aussi. Parlons cinéma donc.

Quand j'ai vu le terme du jour 3 de mon défi, la première image qui m'est venue à l'esprit, c'est Dwayne Johnson. J'en peux plus de Dwayne Johnson. Platinum nous a fait la vie jusqu'à ce qu'on regarde Rampage. J'en peux plus de Dwayne Johnson et des animaux géants et agressifs mais un peu gentils quand même (ou pas). Et des catastrophes naturelles. Et des films d'action dont tu sais la fin après 5 minutes. Mais c'est le créneau de Platinum, et de ses frères aussi, dans une moindre mesure. Ca et la franchise Marvel. J'en peux plus non plus tellement des superpouvoirs des superhéros. Le confinement d'Hollywood aura eu le bon goût de remettre à plus tard sans doute quelques œuvres de ce cinéma-là.

Quand j'ai vu le terme du jour 4, j'ai pensé cinéma aussi. Et musique. Radio Gaga. Ca faisait des mois et des mois qu'au moment du vote "qu'est-ce qu'on regarde à la télé ce samedi soir?", Bohemian Rhapsody se faisait coiffer au poteau par Dwayne Johnson ou l'un de ses acolytes. 3 contre 2, infériorité numérique perpétuelle. Ne jamais faire trois gosses, au risque de voir sa vie pourrie par les règles démocratiques de base. S'il est trop tard pour vous aussi, faites comme moi, misez tout sur la soif d'autonomie de l'aîné, avec un peu de chance la parité sous toit sera rétablie avant qu'il ait 25 piges. 

Bref. Même la passion passagère (mais intense) de Platinum - très mélomane et aux goûts aussi éclectiques qu'inattendus, là il nous gave d'Amir et Ava Max avec une petite touche de Vianney, alors qu'il y a un mois, Balavoine était son idole - pour le tube Killer Queen n'était pas parvenu à faire pencher la balance pour le biopic de Freddie Mercury. Et puis un soir de semaine, alors que généralement l'heure avancée à laquelle on peut s'avachir quelque part - genre le canapé - dissuade de lancer un long métrage, tels deux ados prépubères profitant de l'absence des parents pour regarder un film d'horreur en douce, on a mis Bohemian Rhapsody. 134 minutes de grâce, musicale ET cinématographique. Ce visionnage m'aura donné deux regrets: le premier, c'est d'avoir attendu autant; le second, c'est de ne pas avoir réussi à convaincre les gars qu'il fallait voir ce film. Mais ils y viendront, un jour. Quand l'amour des films que nous classons dans la catégorie "EB" (pour énorme beuse) leur aura passé et que Dwayne Johnson sera tombé dans l'oubli, Radio Gaga résonnera toujours.

 


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